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08/02/2010

KNOCK-OUT POUR NOTHOMB

Plusieurs articles ont soulevé la question du vrai prénom, de la vraie date de naissance, du vrai lieu de naissance et finalement, de la vraie biographie de l'écrivain Amélie Nothomb. Mieux, ils ont aussi analysé de façon assez approfondie les raisons de ces falsifications outrancières, comme cet article-ci.

Rappelons que l'écrivaine Nothomb prétend s'appeler Amélie de son prénom (encore qu'actuellement, elle préfère évincer la question, connaissant le résultat que donnerait une enquête approfondie). Elle prétend aussi être née à Kobé, au Japon le 13 août 1967.et avoir débarqué pour la première fois en Belgique vers 17 ans. Or, en réalité, elle s'appelle Fabienne Nothomb et est née à Etterbeek (commune de Bruxelles), en Belgique, le 9 juillet 1966. Elle y a vécu la majeure partie de son enfance, plus particulièrement chez ses grands-parents à Uccle (Bruxelles).

Rappelons aussi que ces mensonges visent notamment à évincer sa tante aînée d'une partie de ses droits en évitant le mécanisme de rapport de donations d'hébergement faites à la mère de l'écrivain, qui a été hébergée pendant vingt ans avec ses enfants chez ses propres parents, en prétendant que l'écrivain a vécu son enfance à l'étranger, comme expliqué ici. Ils visent également à masquer l'échec de la première année d'études de droit de l'écrivain et à lui créer une image publiable mais sans commune mesure avec la réalité.  A ce propos, je signale avoir été victime de leurs allégations mensongères et démarches nuisibles, visant à casser ma carrière de juriste, dans le double objectif de réduire à néant mon analyse juridique de l'affaire et de se venger de ma réussite des études de droit, lorsque l'écrivain les a échouées.

Eh bien, j'ai deux nouvelles pièces à verser à ce dossier. Deux pièces qui ne peuvent en aucun cas avoir été falsifiées.

Les multiples mensonges faits, et ce, aux niveaux les plus élevés, imposent la plus grande prudence dans l'analyse des preuves. Donc, seuls des documents antérieurs aux années 80 peuvent servir de preuve irréfutable, tout document postérieur pouvant avoir été truqué en vue de faire accréditer des mensonges. Demander un extrait de l'acte de naissance à la commune (d'Etterbeek ou à Kobé) est encourir le risque d'en obtenir un faux, si l'écrivain est parvenue à corrompre certains administrations. Des faux au plus haut lieu, il y en a toujours eus, et pas que dans les républiques bananières. Parfois pour raison d'Etat, parfois pour des motifs bien moins avouables comme en l'espèce. Je précise qu'aucune preuve falsifiée n'a encore été produite concenant l'enfance et la naissance de l'écrivain, mais cette éventualité n'est pas à exclure de la part d'adversaires sans scrupule.

Les deux documents que nous versons sont donc antérieurs aux années 80.

Nous savons que l'écrivain dite Amélie Nothomb est la fille du Baron Patrick Nothomb, Ambassadeur de Sa Majesté le Roi des Belges, né à Schaerbeek le 24 mai 1936, et de son épouse, née Danièle Scheyven, à Uccle, le 15 janvier 1938. C'est vérifié partout, notamment sur Wikipedia, par exemple sur la fiche du Baron Patrick Nothomb lui-même.

Partant de ce postulat, il suffit de se référer aux documents officiels publiés antérieurement aux années 80.

Nous avons pu constater que la damoiselle est noble, de noblesse belge, de même que ses deux parents. Or, si tout citoyen voit sa date de naissance et son lieu de naissance bien répertorié au niveau de l'administration, pour une personne de la noblesse, cet enregistrement est encore bien plus suivi. Ainsi, en Belgique, une personne de la noblesse voit sa date de naissance attestée de nombreuses façons :

  • par les faire-part publiés au moment de sa naissance (cartons, publication dans la presse, dont le trimestriel de l'Association de la Noblesse, courriers écrits par les proches)

  • par les généalogies les plus diverses, et plus particulièrement l'Etat Présent de la Noblesse belge, qui fait autorité en la matière.

Ma pièce additionnelle numéro un est un extrait de l'Etat Présent de la Noblesse belge publié en 1979. Cet extrait démontre que le Baron Patrick Nothomb et son épouse, née Danièle Scheyven ont une fille Fabienne, Claire Nothomb née le 9 juillet 1966, mais n'ont pas de fille du prénom d'Amélie, ni même Fabienne-Amélie et n'ont pas de fille née en 1967.

 

fabienneetatpresentbon.jpg
On pourrait encore me rétorquer qu'une soi-disant vieille erreur a impliqué qu'il existerait des documents erronés, la prétendant née en 1966 à Etterbeek. Ou une autre excuse aussi peu crédible. Eh bien, jouons le jeu et admettons, après tout l'erreur est humaine.

Mais c'est là que ma pièce additionnelle numéro deux coupe court à toute élucubration de ce type. Il s'agit du trimestriel publié en octobre 1966 par l'Association de la Noblesse du Royaume de Belgique, plus précisément, le numéro 87.

 

fabienneanrb.JPG

Ce petit livret a été publié en 1966. On ne pouvait, UN AN A L'AVANCE, prévoir la naissance d'Amélie Nothomb en 1967, mais en commettant une double erreur : sur le prénom et sur la date (dont l'année !). D'une part, il existe une publication faite en 1966 qui annonce la naissance de Fabienne Nothomb en 1966 et d'autre part, il n'existe aucune publication en 1967 annonçant la naissance d'Amélie en 1967. La conclusion est évidente : s'il n'existe pas de publication de sa naissance en 1967, mais seulement une en 1966, c'est qu'elle est bien née en 1966.

Peut-être que dans un dernier sursaut de mauvaise foi, l'adversaire rétorquera qu'il existait une Fabienne Nothomb à présent décédée (Dieu que j'ai de l'imagination !), qu'Amélie est en réalité un quatrième enfant.

Mais alors :

  • Pourquoi est-ce que la naissance d'Amélie Nothomb en 1967 n'a jamais fait l'objet d'aucune publication en 1967, et notamment par ce fameux trimestriel de l'Association de la Noblesse du Royaume de Belgique ?

  • Pourquoi le prétendu décès de Fabienne Nothomb n'a-t-il jamais été publié, ni par voie de presse, ni ailleurs, pourquoi n'y eut-il aucun enterrement ? Et quand et où aurait eu lieu ce prétendu décès ?

  • Pourquoi est-ce que toutes les publications officielles, dont l'Etat Présent de la Noblesse Belge, n'évoquent explicitement que trois enfants, jamais quatre ?

  • Où se trouve le corps comme demandait Landru (à mauvais escient en ce qui le concerne), où se trouve-t-elle enterrée si elle est décédée ?

  • Et si elle n'est pas décédée, où se trouve-t-elle ?

On voit bien que ces allégations adverses n'auraient pas tenu la route et se seraient fait démonter par toute enquête un peu sérieuse.

En revanche, les faits que nous présentons sont étayés par bien d'autres preuves, comme les très nombreuses anciennes éditions de bottins mondains belges (High Life et Carnet Mondain), qui indiquent que sa date de naissance est 1966, le mémoire de fin d'études de Mademoiselle Nothomb rédigé sous le prénom Fabienne, son inscription comme auteur à la Sacem sous le prénom Fabienne, et j'en passe et des meilleures.

Donc, CQFD, Amélie Nothomb, qui s'appelle en réalité Fabienne Nothomb est bel et bien née le 9 juillet 1966 en Belgique. Et les raisons de ces falsifications sont décrites dans cet article-ci et celui-là.

Les différents articles antérieurs détaillant notre analyse :

Récapitulatif des principales pièces (il en existe encore bien d'autres) :

- extrait de l'Etat Présent de la Noblesse belge publié en 1979.

- trimestriel publié en octobre 1966 par l'Association de la Noblesse du Royaume de Belgique, plus précisément, le numéro 87

- le livre de Pierre Stéphany "Portraits de grandes familles"

- un extrait de l'High Life de 2000


- la généalogie de Réginald Dumont de Chassart ; La généalogie mentionne aussi le prénom de guerre de l'écrivaine d'une façon qui prête malheureusement un peu à confusion : on a l'impression qu'Amélie est la soeur de Fabienne alors qu'il s'agit de la même personne avec une seule et même date de naissance

 

- le catalogue de mémoires de l'ULB Il faut cliquer sur "recherches" et taper "Fabienne Nothomb", car il n'y a pas de mémoire au prénom d'Amélie, uniquement ses romans et des études la concernant).

- la base de données de la SACEM il faut cliquer sur "Accès direct Créateurs Editeurs" : Les Oeuvres en ligne - Découvrez qui a créé quoi ?

12/11/2009

EST-CE QUE NOTHOMB VA FAIRE SAUTER WIKIPEDIA ?

Les précédents articles de ce blog ont longuement traité de la date et du lieu de naissance d'Amélie Nothomb (dont le prénom à l'état-civil est Fabienne, qui n'est pas née au Japon et qui n'est pas née en 1967).
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Le blogueur M.P. a fait une excellente analyse du "système Amélie Nothomb" (on peut retrouver son intéressant article ici). Cet article avait relevé que la fiche Wikipedia de l'écrivain "Amélie Nothomb" ne comportait qu'une seule citation de cet écrivain, laquelle citation contiendrait néanmoins une faute de français.
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Je reprends ci-après les phrases correspondantes de cet article (le texte est intégral mais les polices sont de mon choix).
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"Ainsi, l’unique extrait de Nothomb publié sur sa fiche Wikipedia, contient une erreur de français.
« J’écris 3,7 romans par an, c’est un rythme, je l’ai constaté après coup. Ceci dit, n’allez surtout pas imaginer que tous ces romans sont bons. Il y a une énorme proportion de romans ratés dont il est hors de question que je les publie »
L’emploi de « ceci dit » est incorrect pour les puristes (dont Chouinard) car « ceci », en principe « annonce ce qui va venir ». "
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Cet article, publié le 4 octobre 2009 sur la Toile, a dû être lu par Fabienne Nothomb, car, comme le signale le même article, elle a modifié sa fiche à la date du 20 octobre 2009 (il lui a tout de même fallu deux semaines pour réagir). Cet article reprend toutes les preuves de la modification, présentes dans l'historique de la fiche (comme nous le voyons ici), notamment le "ceci" remplacé par "cela". Et effectivement, les versions antérieures de cette fiche, comme celle-ci, conservent en mémoire le "ceci" qu'elle voudrait bien cacher. Le corps du délit...
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La modification mérite qu'on la souligne car elle a changé un mot contenu dans une ancienne citation, reprise entre guillemets et extraite d'un article du quotidien "La Libre Belgique". Or, en modifiant une citation, on commet un faux, même si cette modification ne vise qu'à effacer une faute de français. A fortiori que l'écrivain prétend exceller dans le style et le maniement de la langue, ce qui est contesté par nombre de spécialistes de la langue et par d'autres moins spécialistes mais néanmoins amateurs éclairés, à l'instar de moi-même ...
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On me répondra que n'importe qui peut modifier une fiche Wikipedia. Oui, mais les modifications extérieures des fiches de personnalités ne sont pas maintenues si elles ne sont pas validées et en l'occurrence, il semble bien que c'est Madame Nothomb qui surveille avec vigilance cet important outil de communication, comme l'a fait savoir un des contributeurs Wikipedia. Pour exemple, toute tentative de rectification de sa date de naissance erronée, aboutissait à voir la date falsifiée rétablie dans un délai record.
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On me répondra aussi qu'elle n'est pas obligée de tendre des verges pour se faire battre en laissant une erreur sur sa fiche. Certes. D'abord, si Mademoiselle Nothomb avait été une si bonne théoricienne de la langue française, elle aurait su qu'il ne s'agit pas d'une erreur gravissime (mais néanmoins une tournure indigne d'une personne qui se prétend être un des meilleurs écrivains du moment). Elle aurait pu faire apposer une petite note de bas de page à cette citation, exprimant sa propre interprétation de cette tournure litigieuse, voire argumenter qu'elle pourrait être admise. Elle aurait aussi pu réécrire ce paragraphe, pour exprimer le sens de cette citation, sans la reprendre entre guillemets et donc sans reprendre l'expression controversée. Plus simplement encore, elle aurait pu supprimer ce passage (a fortiori que ce qu'elle y dit semble être un pieux mensonge, mais la communication d'Amélie Nothomb a de particulier qu'à peu près tout ce qu'elle dit est inventé, à commencer par sa date de naissance).
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Les possibilités licites étaient multiples, et elle n'était pas obligée de recourir à une autoflagellation passive en contemplant l'erreur inscrite pour l'éternité.
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Et pourtant, Mademoiselle Nothomb a choisi la pire solution : modifier (et donc falsifier comme le précise M.P.) une citation entre guillemets.
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Ce choix démontre bien l'esprit dans lequel elle fait sa communication. Elle communique en ignorant, bafouant le droit et les règles qu'elle a dû apprendre pendant ses études de philologie romane. Car elle a dû apprendre en faisant son mémoire que citer un texte entre guillemets oblige à respecter le texte original, peu importe qu'il contienne une tournure litigieuse. Et si elle avait des notions de droit, elle aurait su qu'en modifiant ainsi une citation elle fait un faux.
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Ce choix démontre aussi une volonté de discréditer l'article qui a souligné le problème, en tentant de donner l'impression que cet article la calomniait, en espérant faire croire que cet article prétendait trouver un litige là où il n'y en a pas. Et ça, c'est très mal, c'est tromper le lecteur. L'usage de tels procédés confirme à nouveau que l'écrivain n'a pas hésité à mentir dans sa biographie pour passer pour meilleure qu'elle n'est mais aussi pour masquer quelques vilaines histoires de famille.
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Pour effacer définitivement toute trace de cette phrase controversée, il ne lui reste plus qu'à faire sauter Wikipedia avec sa propre fiche et son historique, et faire sauter l'immeuble de la Libre Belgique avec toutes ses archives (ou subrepticement arracher une page de leurs archives, cela s'est déjà vu de la part de certains proches à elle). Ou alors contacter Ben Laden en vue d'un 11 septembre belge, le jeu en vaut la chandelle.
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Il est évident que camoufler qu'elle a écrit "ceci" au lieu de "cela" mérite le sacrifice de quelques vies humaines, comme la vie sacrifiée de sa tante qui a été confinée à la misère la plus noire, pour valoriser et gâter davantage ses soeurs et descendants (pour plus d'informations sur sa tante, lisez cet affreux témoignage). Bien sûr, je suis ironique et provocatrice, mais il est certain que la compassion envers sa tante n'est pas sa qualité première.
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AVERTISSEMENT : veuillez ne jamais citer mon patronyme dans vos critiques.

17/08/2009

LA DATE ET LE LIEU DE NAISSANCE DE NOTHOMB

Comme nous l'avons vu dans un précédent article, diverses preuves sur Internet démontrent que Fabienne Nothomb, dont le prénom de plume est Amélie, est née à Etterbeek, le 9 juillet 1966. Ici, deux nouvelles preuves de sa date de naissance en 1966 et de son lieu de naissance à Etterbeek.

La première est le livre d'un journaliste d'investigation belge, Pierre Stéphany. A la page 233 de son livre "Portraits de grandes familles", publié en 2004 par les éditions Racine à Bruxelles, nous pouvons lire : "Née en 1966, cadette de trois enfants, Fabienne-Amélie n'écrivait que pour son plaisir."

Et un peu plus loin, à la page 234 : "Amélie, ses chapeaux de sorcière, ses chaussures à lacets, sa diction, son vocabulaire... L'a-t-elle fait exprès? Elle s'est fabriqué une image médiatique qui doit être pour quelque chose dans sa popularité. Elle est née à Etterbeek, pas aux antipodes. Elle n'a pas été élevée par des gouvernantes. Elle n'a pas vécu seulement au hasard des ghettos diplomatiques. Elle est allée à l'école chez les très convenables bonnes soeurs de l'Institut de Marie Immaculée à Uccle, que fréquentaient les demoiselles de la meilleure société."

Le même livre rappelle que les dires de l'écrivaine doivent être pris avec beaucoup de circonspection, à la même page 234 : "Elle affirme que depuis qu'elle a confié aux journaux qu'elle était végétarienne, ses ventes ont été multipliées par dix. Elle raconte, l'oeil pétillant et pourtant apparemment sincère, des histoires énormes. Parfois, en l'écoutant, l'intervieweur se demande si elle ne lui dit pas tout ça histoire de voir s'il est assez bête pour la croire.".

 

Ici, un document pdf reprenant les pages mentionnées : Pierre Stéphany.pdf

 
 
La deuxième est un extrait du bottin mondain belge, l'High Life de Belgique, lequel publie la date de naissance des enfants célibataires de ses adhérents. Il s'agit ici de l'édition de l'an 2000.
fabienneHL2.jpg

On retrouve cet extrait sur la troisième page de ce document pdf : PagesHighLife.pdf

Comme la vérité peut être déterminée de multiples façons, il existe encore de nombreux documents, tous antérieurs à sa peoplisation, démontrant sa vraie date de naissance, son vrai parcours et son vrai lieu de naissance.

Pas très importantes ces informations ? Pour certaines personnes, comme sa tante Françoise Scheyven, elles ont beaucoup d'importance, car en mentant sur sa date de naissance, son lieu de naissance et le lieu où elle a passé son enfance, Fabienne Nothomb accrédite la version mensongère de sa mère qui prétend ne pas avoir été hébergée avec ses enfants, sans contrepartie, par ses parents, à Uccle et qui refuse de rembourser cette libéralité à rapporter. Pour plus d'informations, voir cet article.

Les français me diront que pour démontrer son état-civil, il suffit de le demander à la mairie. Mais Fabienne Nothomb est belge, née et domiciliée en Belgique et l'état-civil d'une personne ne peut y être obtenu que par la personne elle-même ou sur décision de justice.

Ici, un article bien documenté qui offre une explication plus psychologique au comportement de l'écrivaine.

AVERTISSEMENT : Veuillez ne pas citer mon patronyme dans vos critiques

13/07/2009

L'AUTRE FACE D'AMELIE NOTHOMB SUR INTERNET

Lorsqu'on parcourt la Toile, on retrouve quelques sites Internet très sérieux où le nom d'Amélie Nothomb apparaît.

Par exemple, celui-ci.  J'atteste de la véracité de ce qui y est indiqué (je précise que je ne connais pas l'auteur de ce site et qu'il n'a évidemment pas été réalisé par moi - il aurait d'ailleurs été beaucoup plus dur et complet s'il avait été de ma main). 

L'écrivaine s'appelle en réalité Fabienne Nothomb (voir sa généalogie en cliquant sur son nom) , est née à Etterbeek, le 9 juillet 1966, est la fille de Patrick Nothomb  et de Danièle Scheyven.  Elle a un seul frère, André Nothomb et une seule soeur, Juliette Nothomb.  La généalogie mentionne aussi le prénom de guerre de l'écrivaine d'une façon qui prête malheureusement un peu à confusion : on a l'impression qu'Amélie est la soeur de Fabienne alors qu'il s'agit de la même personne avec une seule et même date de naissance - je ne connais pas personnellement Réginald Dumont de Chassart, l'auteur de cette généalogie, mais elle est fiable. 

Ou celui-là (je ne connais pas personnellement Marco Van Hees, l'auteur de cet intéressant article).

Ici une autre généalogie, réalisée par Rens Scheijven, où on peut retrouver sa parenté (malheureusement en néerlandais et pas très complète, même si j'y ai contribué). 

Le titre de son mémoire de fin d'études en philologie romane à l'Université Libre de Bruxelles (ULB), "L'intransitif et l'intransitivité dans les romans de Bernanos", Bruxelles, 1988, mémoire réalisé sous la direction d'Albert Mingelgrün, ici (il faut cliquer sur "recherches" et taper "Fabienne Nothomb", car il n'y a pas de mémoire au prénom d'Amélie, uniquement ses romans et des études la concernant).  Un livre "Amélie Nothomb, le symptôme graphomane", rappelle que l'écrivaine a bel et bien écrit un mémoire sur Bernanos : "Amélie Nothomb reste marquée par l'oeuvre de Bernanos (auquel elle consacra un mémoire universitaire)".

Finalement, si on tape le nom Nothomb dans le catalogue de la Sacem, elle apparaît sous le prénom Fabienne, comme auteur de chansons de la chanteuse RoBERT (il faut cliquer sur "consulter le catalogue" ou "découvrez notre répertoire", au haut de la page, et non taper son nom dans "recherche").

Autre chose que les publi-rédactions habituelles sur l'écrivaine (dont les sérieux Wikipedia et dictionnaire Robert font hélas partie jusqu'à présent).

Ah oui, il y en a qui voudraient savoir ce que signifie Amélie, ici la définition (que toutes les Amélie du monde me pardonnent !).  Bon, c'est un peu bas, mais il est surprenant qu'une personne qui se prétend une linguiste cultivée et qui devrait passer sa vie à fouiner dans les dictionnaires, ait choisi son prénom sans même en avoir ouvert un de dictionnaire (car Amélie est le prénom de plume qu'elle s'est choisi, pas celui qui lui a été donné à sa naissance).  Et je trouve Fabienne un fort joli prénom, sans aucune connotation ridicule.

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PS1 - Fiabilité de l'information : Je précise que si je suis si sûre de moi en ce qui concerne le sérieux des informations affichées, c'est parce que je connais Fabienne pardon Amélie et sa famille depuis ma plus tendre enfance.  De plus, il s'agit de sites officiels pour la plupart et non d'interviews où généralement, le journaliste se contente de reprendre l'information que lui livre l'écrivain.

- le site anonyme : cela pourrait être n'importe quoi, mais ce site sévit depuis plusieurs années sur la Toile et n'a jamais été supprimé.  Sa pérennité en dépit du fait qu'il contredise l'écrivain qui communique tant sur ces informations, est un indice de sa fiabilité.

- la généalogie de Réginald Dumont de Chassart : il s'agit d'une généalogie très complète faite par une personne qui a accès à toutes les sources les plus fiables.

- l'article de Marco Van Hees : c'est un article très bien documenté de la part d'un journaliste d'investigation belge qui connaît très bien le microcosme belge

le catalogue de mémoires de l'ULB : son mémoire est antérieur à sa "peoplisation", donc porte son vrai prénom.  Vu l'importance qu'elle prête à ce mémoire (qu'elle ne laisse pas en consultation libre, à la différence de la plupart des mémoires), elle a bien veillé à ce que ce soit son vrai prénom qui permette de l'identifier pour pouvoir en revendiquer la paternité en cas de litige.

- la base de données de la SACEM : il s'agit d'une protection officielle de ses oeuvres et donc elle a veillé à utiliser son vrai prénom pour l'éventualité d'un procès où elle n'aura droit à agir que si son vrai prénom est affiché.

Sa fiche Wikipedia est erronée, mais dans les discussions (extrêmement vives avec de nombreux intervenants différents, ce qui démontre l'importance de la controverse), il est indiqué qu'elle ne sera pas modifiée sans l'accord de l'écrivain (exemple d'une des réponses de Wikipedia : "Non, il faut une déclaration d'Amélie Nothomb disant que c'est son vrai nom").  Il est évident qu'avec une gestion de ce type, en cas de mensonge de l'écrivaine, il ne risque pas d'y avoir rectification sur Wikipedia.  Il est à noter que de façon assez amusante, un intervenant qui se prétend amie de l'écrivaine, affirme que Fabienne n'est "que" le prénom qui apparaît sur sa carte d'identité - cela signifie que "Fabienne" figure bien sur sa carte.  De plus, je l'ai toujours connue sous le prénom Fabienne jusqu'à la publication de son premier roman - son prénom "d'usage" était bien Fabienne. 

PS2 - Intérêt de l'information : Un prénom, une date de naissance, un lieu de naissance et le lieu où elle a passé son enfance sont des informations qui peuvent passer pour secondaires.  Néanmoins, à la différence de la plupart des écrivains, Madame Nothomb les martèle à peu près à chaque interview, de façon quasi-obsessionnelle, alors qu'effectivement, ces informations ne devraient pas avoir beaucoup d'impact sur l'écriture de ses romans (et en tout cas ni son prénom, ni sa date et son lieu de naissance).  Ces informations ont de l'importance à mon sens, d'abord parce qu'elles rectifient des mensonges récurrents et affichés dans toutes ses biographies même les plus officielles.  Ensuite ces informations ont beaucoup d'impact, car elles servent de preuve dans le cadre d'un procès où les sommes en jeu sont très importantes. 

PS3 - Raisons de ces falsifications et la méthode adoptée : L'écrivaine débite ces données fausses sur son état civil et sur son enfance à peu près à chaque interview afin de parvenir à faire passer ces mensonges à la postérité.  Pourquoi une telle obstination à modifier ces données, qu'elle aurait tout aussi bien pu taire  et que nous aurions pu ne jamais connaître si son ambition ne l'avait pas poussée à s'intégrer dans les dictionnaires ? La prétendue enfance passée au Japon lui permet de dissimuler un important recel dans le cadre d'une succession : l'hébergement gratuit qu'elle a reçu pendant des années chez ses grands-parents à Uccle.  Pour plus d'informations, veuillez lire cet article.  La modification de la date de naissance lui permet de dissimuler la première année de droit qu'elle a échouée, en ne présentant pas de "trou" dans son CV.  Elle a probablement modifié par la même occasion son prénom afin de davantage embrouiller et complexifier les recherches et peut-être aussi pour avoir un prénom qu'elle jugeait plus à la mode à l'époque. 

Ici, un article bien documenté qui offre une explication plus psychologique au comportement de l'écrivaine.


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13/05/2009

TEMOIGNAGE : UNE INJUSTICE ABOMINABLE

Information vérifiée et attestée par Doris Glénisson

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NB. Des pièces essentielles de cette affaire sont en lien.  Il suffit de cliquer sur les mots en bleu et gras.
Ici je décris une affaire judiciaire particulièrement sordide.
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Françoise Scheyven, conçue avant le mariage de ses parents, a toujours été l'objet de leur haine.  Probablement qu'elle représentait pour eux ce qui les a contraints à s'épouser, alors qu'ils ne s'aimaient pas.
Son père, Directeur Général d'un important organisme, était très bien rémunéré et avait en plus de la fortune personnelle (par différents héritages).  Son épouse avait aussi de la fortune personnelle.
On pourrait s'imaginer que quand on est né avec une cuillère en argent dans la bouche, on aura toujours plus qu'une personne née parmi les plus humbles, même en cas de conflit familial.

Il n'en est rien en réalité !

.Françoise Scheyven, enfant, a vécu le plus souvent chez ses grands-parents car ses parents l'évitaient.  Elle était souvent malade parce que maltraitée.

Elle n'a pu faire d'études mais a travaillé dans l'organisme que dirigeait son père.
Son père l'a empêchée d'étudier et travailler sérieusement.  Il a rompu le contrat de travail de Françoise Scheyven à son mariage.  Ensuite, il ne l'a jamais aidée correctement en dépit de son devoir légal et des difficultés épouvantables que sa fille éprouvait. 
Françoise Scheyven ne pouvait être par après que femme de ménage car elle ne connaissait pas la langue de la région qu'elle habite.
Je trouve ignoble d'empêcher une femme d'étudier et travailler, quand en plus elle est dans le besoin.  Cela existe encore dans certaines mentalités attardées.  Étudier et travailler sont les choses qui me tiennent le plus à coeur et qui m'ont permises de m'intégrer dans la société.  Il n'y a rien que je ne déteste autant que les gens qui poussent les femmes au mariage et à devenir femme au foyer, à les confiner à une position d'infériorité et de dépendance économique.
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Françoise Scheyven vit dans une pauvreté qu'on ne peut imaginer.  Même les personnes les plus pauvres des environs peuvent sembler enviables.  Quelques indices : pas d'eau courante, pas de chauffage central, pas de sanitaires, un intérieur très délabré et humide, la façon de vivre se rapproche de celle des SDF dont le sort me sensibilise énormément.  La grande pauvreté humilie profondément et isole aussi.
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L'exhérédation de Françoise Scheyven a été organisée en cachant l'essentiel des avoirs de ses parents et en en distribuant la plus grande partie du vivant des parents aux autres enfants, afin de les faire échapper au fisc et à Françoise Scheyven. 
Le seul avoir qui n'a pu être dissimulé est une très grosse maison bourgeoise sise à Uccle Quartier Prince d'Orange (le Neuilly-sur-Seine belge, le "quartier le plus riche d'Uccle et de Bruxelles" dixit Wikipedia).  Cette villa comporte une dizaine de chambres, de nombreuses salles de bain et réceptions luxueuses, une conciergerie, un quart d'hectare de jardin et a été conçue par un architecte très connu en Belgique, Jasinski.   En plus, dans notre contexte actuel de peoplisation, cette maison est fort valorisée par le fait qu'elle a été la maison d'enfance de l'écrivaine belge la plus vendue actuellement, Amélie Nothomb.  Elle était aussi la maison de ses grands-parents.
Or, dès 1998, cette sorte d'immeuble dépassait facilement 900.000 euros à la vente comme le confirme cet article de l'événement immobilier de juillet 1998 (en lien ici, et l'extrait concerné ci-dessous).
extraitarticle.jpg
On peut aussi se faire une idée de la valeur actuelle de cette maison en vérifiant le prix de vente de maisons similaires sur immoweb.com, c'est-à-dire des immeubles sis à 1180 Uccle (mais dans le Quartier Prince d'Orange, le plus cher), avec un jardin de 25 ares, une surface de 800 m2, de grandes réceptions et une dizaine de chambres - de l'ordre de trois millions d'euros.
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Les adversaires ont produit une soi-disant expertise, réalisée par un agent immobilier associé du fils de l'acheteuse de la maison, lequel a évité d'indiquer la surface de la maison dans son rapport, donnée pourtant essentielle pour une évaluation. Cette soi-disant expertise présente à titre de points de comparaison des immeubles plus petits (comportant par exemple un jardin de 6 ares ou 13 ares, ou 17 ares, quatre ou cinq chambres ...).

.Si Françoise Scheyven perd son procès, cette maison assez fantastique et en parfait état, sera attribuée à sa soeur contre une somme ridicule par le truchement d'une transaction caduque car vieille de dix ans et pourtant assortie d'une clause de délai maximum de ... quatre mois (en page deux de la transaction en lien le point 3.4 prévoit un délai maximum pour l'exécution de la transaction).  Cette transaction est entachée de bien d'autres irrégularités encore.  Et sans vergogne, ses soeurs réclament des dommages-intérêts démesurés à Françoise Scheyven en dépit de sa situation, histoire de réduire encore davantage sa part.

Cette situation est d'autant plus écoeurante que Françoise Scheyven vit actuellement en quart-mondiste, dans un petit chalet en ruine, sans chauffage, ni eau courante, ni la place suffisante pour y vivre. 

 Je n'ai pas osé montrer une photo du chalet entier, ni de son intérieur, par honte et pudeur pour Françoise Scheyven. 

La situation est tellement extrême, presque archétypique, que j'ai vraiment du mal à la présenter de façon crédible.  La réalité dépasse nettement la fiction.  La honte pousse aussi à l'autocensure.
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A cela s'ajoutent des comptes bancaires littéralement pillés à l'insu de Françoise Scheyven, qui n'arrive pas à faire reconnaître ses droits en dépit de plusieurs ..expertises sous la foi du serment, dont une d'un comptable totalement indépendant en lien ici.
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Finalement, le troisième grief important de Françoise Scheyven est le fait que ses soeurs ont été nourries, logées, blanchies, gratuitement avec leurs enfants et mari pendant des décennies [le courrier en lien précise qu'elles payaient leurs repas, ce qui s'est avéré un mensonge contredit par d'autres preuves, mais confirme par ailleurs qu'elles ne payaient aucun loyer, aucun loyer n'étant prévu dans leurs conditions d'hébergement] et elle demande le rapport de ces donations et libéralités aux successions.  Dans ce cadre, il est plus particulièrement reproché à l'écrivaine Amélie Nothomb  de s'être forgé un passé factice (une enfance au Japon) non dans le seul but de faire mousser son image, mais aussi afin de consolider la version de sa mère qui prétend ne pas avoir été hébergée par ses propres parents avec ses enfants - elle fait d'une pierre deux coups, elle agrémente sa biographie de mensonges éhontés afin de se valoriser au détriment de personnes plus talentueuses et elle aide sa mère à ruiner sa soeur ainée.  Ici, un article bien documenté qui offre une explication plus psychologique au comportement de l'écrivaine.
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Françoise Scheyven a perdu une première manche au pénal dans des conditions pitoyables : elle a dû plaider elle-même son dossier face à un des meilleurs avocats de Bruxelles.  Mais ce jugement infamant n'a pu être exécuté suite à un constat de carence de l'huissier de justice, lequel confirme les faits présentés par Françoise Scheyven.
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Cette affaire est extrême, exceptionnelle, car il est rare qu'une personne soit lésée à ce point et ait vécu toute sa vie dans la misère alors que ses plus proches parents vivaient dans l'opulence, ne se conformant pas au code civil lequel oblige les parents à assister leurs enfants.  En plus, alors que ses soeurs vivent richement avec des domestiques, elle vit dans un taudis, sans revenus.  Cette affaire mérite donc d'être publiée par voie de presse.
En outre, elle est étroitement liée à des célébrités, dont Amélie Nothomb.  A ce titre, cette affaire doit même être publiée dans les journaux à grand tirage.
Dans le même ordre d'idée, récemment une affaire bien moins grave a fait la une de plusieurs journaux, dont Le Post, le fait que le frère du chanteur Cali soit RMIste.  Ici cette affaire d'héritage est bien pire, s'agissant de célébrités qui n'hésitent pas à mentir pour ruiner un proche en plus de ne lui offrir aucune assistance, proche qui a également droit à l'assistance de l'État.
Mais il y a dans la présente affaire des personnes qui ont beaucoup d'influence et qui ont la forte propension à faire censurer ce genre d'information.  Heureusement, grâce à Internet, il ne sera bientôt plus possible de censurer par la seule influence.  Un site indépendant va être construit concernant cette affaire et durera tant que cette affaire ne connaîtra pas d'issue juste.
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On peut aussi en conclure qu'il n'est pas nécessaire d'être né dans une famille pauvre pour vivre toute sa vie dans la misère la plus noire. 
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L'affaire a été plaidée par Françoise Scheyven dans des conditions exécrables et a été jugée de façon expéditive par un jeune juge en début de carrière, plus influençable et inexpérimenté, face à des personnes qui ont le bras particulièrement long.  Le seul élément que j'ai trouvé le concernant sur la Toile, c'était l'allégation d'une trop grande  complaisance de sa part à l'égard des puissants et des autorités (en l'espèce des policiers).
Françoise Scheyven usera de tous les recours nécessaires si ses droits ne sont pas reconnus.   Je compte faire une grève de la faim si cette affaire n'est pas jugée conformément au droit et aux faits, si une expertise n'est pas entreprise.
Il s'agit d'un procès public (pas de huis clos) et j'atteste de la véracité de ce que j'expose.
La seule façon de juger correctement cette affaire c'est ordonner des expertises judiciaires des avoirs des successions.  En effet, un juge digne de ce nom, ne peut se fier aux seules allégations des adversaires, il ne peut non plus ignorer les documents présentés par Françoise Scheyven que l'adversaire a empêché sciemment de visiter les lieux pour les expertiser (car faute de visite, la limite inférieure de la fourchette d'évaluation a été rabaissée).

 Par Doris Glénisson, DESS de Droit, MBA (major de la promo), Lic Sc Eco, Cand Ing civil

AVERTISSEMENT : Veuillez ne pas citer mon nom de famille dans vos critiques

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Est-ce que le présent article pourrait être un "fake" ? .

Si c'était un fake, je ne m'engagerais pas à en attester le contenu.  Ce n'est pas une preuve définitive, mais en raisonnant, nous pouvons déduire que c'est dans la présente thèse que se situe la vérité.

1 - A supposer que cette thèse soit fausse, une chose demeure certaine : la tante directe d'Amélie Nothomb vit dans la misère la plus noire et l'écrivain, milliardaire semble s'en soucier comme d'une guigne, la mère de l'écrivain milliardaire aussi, ainsi que l'autre tante, également très riche.  Ceci démontre un manque de coeur, d'esprit de famille et de sens commun assez effarant. .

2 - Toujours dans la même hypothèse qu'il s'agirait d'une thèse mensongère, de toute façon, la mère et l'autre tante d'Amélie Nothomb n'hésitent pas à demander des dommages-intérêt exorbitants qui grèvent lourdement la petite part que la transaction alloue à Françoise Scheyven, en dépit de son état de misère.  Ceci démontre à nouveau manque de coeur, d'esprit de famille et de sens commun.

3 - Vu les mauvaises dispositions et l'égoïsme évident de ces personnes, cette histoire est finalement assez crédible. .

4 - Elle est même totalement démontrée par la transaction-partage (mise en lien), la valeur de la maison attestée par plusieurs expertises (dont une en lien) et confirmée par des articles de presse (dont un en lien), et divers points de comparaison (ventes de gré à gré, ventes publiques, annonces de presse), les expertises sous serment des comptes bancaires (une expertise en lien), les courriers de feu le grand-père d'Amélie Nothomb (dont un exemplaire en lien) et des témoignages divers. .

Est-ce que le présent article intéresse le grand public ?

Oui, car il fait intervenir une personnalité qui tire ses revenus de sa notoriété, et qui ment publiquement dans sa biographie pour faire accréditer cette version mensongère.  Elle fait aussi intervenir  divers notables et dépeint une situation extrême.  Il ne s'agit donc pas d'une affaire purement privée a fortiori que tous les éléments ici mentionnés sont repris dans un procès public pour lequel le huis clos n'a même pas été demandé.

 

Est-ce que le présent article pourrait contrevenir à  la loi ? .

Non, car toutes les informations sont publiques (étant livrées dans le cadre d'un procès public) vraies, attestées, démontrées preuves à l'appui.