Il n'en est rien en réalité !
.Françoise Scheyven, enfant, a vécu le plus souvent chez ses grands-parents car ses parents l'évitaient. Elle était souvent malade parce que maltraitée.
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Plusieurs articles ont soulevé la question du vrai prénom, de la vraie date de naissance, du vrai lieu de naissance et finalement, de la vraie biographie de l'écrivain Amélie Nothomb. Mieux, ils ont aussi analysé de façon assez approfondie les raisons de ces falsifications outrancières, comme cet article-ci.
Rappelons que l'écrivaine Nothomb prétend s'appeler Amélie de son prénom (encore qu'actuellement, elle préfère évincer la question, connaissant le résultat que donnerait une enquête approfondie). Elle prétend aussi être née à Kobé, au Japon le 13 août 1967.et avoir débarqué pour la première fois en Belgique vers 17 ans. Or, en réalité, elle s'appelle Fabienne Nothomb et est née à Etterbeek (commune de Bruxelles), en Belgique, le 9 juillet 1966. Elle y a vécu la majeure partie de son enfance, plus particulièrement chez ses grands-parents à Uccle (Bruxelles).
Rappelons aussi que ces mensonges visent notamment à évincer sa tante aînée d'une partie de ses droits en évitant le mécanisme de rapport de donations d'hébergement faites à la mère de l'écrivain, qui a été hébergée pendant vingt ans avec ses enfants chez ses propres parents, en prétendant que l'écrivain a vécu son enfance à l'étranger, comme expliqué ici. Ils visent également à masquer l'échec de la première année d'études de droit de l'écrivain et à lui créer une image publiable mais sans commune mesure avec la réalité. A ce propos, je signale avoir été victime de leurs allégations mensongères et démarches nuisibles, visant à casser ma carrière de juriste, dans le double objectif de réduire à néant mon analyse juridique de l'affaire et de se venger de ma réussite des études de droit, lorsque l'écrivain les a échouées.
Eh bien, j'ai deux nouvelles pièces à verser à ce dossier. Deux pièces qui ne peuvent en aucun cas avoir été falsifiées.
Les multiples mensonges faits, et ce, aux niveaux les plus élevés, imposent la plus grande prudence dans l'analyse des preuves. Donc, seuls des documents antérieurs aux années 80 peuvent servir de preuve irréfutable, tout document postérieur pouvant avoir été truqué en vue de faire accréditer des mensonges. Demander un extrait de l'acte de naissance à la commune (d'Etterbeek ou à Kobé) est encourir le risque d'en obtenir un faux, si l'écrivain est parvenue à corrompre certains administrations. Des faux au plus haut lieu, il y en a toujours eus, et pas que dans les républiques bananières. Parfois pour raison d'Etat, parfois pour des motifs bien moins avouables comme en l'espèce. Je précise qu'aucune preuve falsifiée n'a encore été produite concenant l'enfance et la naissance de l'écrivain, mais cette éventualité n'est pas à exclure de la part d'adversaires sans scrupule.
Les deux documents que nous versons sont donc antérieurs aux années 80.
Nous savons que l'écrivain dite Amélie Nothomb est la fille du Baron Patrick Nothomb, Ambassadeur de Sa Majesté le Roi des Belges, né à Schaerbeek le 24 mai 1936, et de son épouse, née Danièle Scheyven, à Uccle, le 15 janvier 1938. C'est vérifié partout, notamment sur Wikipedia, par exemple sur la fiche du Baron Patrick Nothomb lui-même.
Partant de ce postulat, il suffit de se référer aux documents officiels publiés antérieurement aux années 80.
Nous avons pu constater que la damoiselle est noble, de noblesse belge, de même que ses deux parents. Or, si tout citoyen voit sa date de naissance et son lieu de naissance bien répertorié au niveau de l'administration, pour une personne de la noblesse, cet enregistrement est encore bien plus suivi. Ainsi, en Belgique, une personne de la noblesse voit sa date de naissance attestée de nombreuses façons :
par les faire-part publiés au moment de sa naissance (cartons, publication dans la presse, dont le trimestriel de l'Association de la Noblesse, courriers écrits par les proches)
par les généalogies les plus diverses, et plus particulièrement l'Etat Présent de la Noblesse belge, qui fait autorité en la matière.
Ma pièce additionnelle numéro un est un extrait de l'Etat Présent de la Noblesse belge publié en 1979. Cet extrait démontre que le Baron Patrick Nothomb et son épouse, née Danièle Scheyven ont une fille Fabienne, Claire Nothomb née le 9 juillet 1966, mais n'ont pas de fille du prénom d'Amélie, ni même Fabienne-Amélie et n'ont pas de fille née en 1967.
Mais c'est là que ma pièce additionnelle numéro deux coupe court à toute élucubration de ce type. Il s'agit du trimestriel publié en octobre 1966 par l'Association de la Noblesse du Royaume de Belgique, plus précisément, le numéro 87.
Ce petit livret a été publié en 1966. On ne pouvait, UN AN A L'AVANCE, prévoir la naissance d'Amélie Nothomb en 1967, mais en commettant une double erreur : sur le prénom et sur la date (dont l'année !). D'une part, il existe une publication faite en 1966 qui annonce la naissance de Fabienne Nothomb en 1966 et d'autre part, il n'existe aucune publication en 1967 annonçant la naissance d'Amélie en 1967. La conclusion est évidente : s'il n'existe pas de publication de sa naissance en 1967, mais seulement une en 1966, c'est qu'elle est bien née en 1966.
Peut-être que dans un dernier sursaut de mauvaise foi, l'adversaire rétorquera qu'il existait une Fabienne Nothomb à présent décédée (Dieu que j'ai de l'imagination !), qu'Amélie est en réalité un quatrième enfant.
Mais alors :
Pourquoi est-ce que la naissance d'Amélie Nothomb en 1967 n'a jamais fait l'objet d'aucune publication en 1967, et notamment par ce fameux trimestriel de l'Association de la Noblesse du Royaume de Belgique ?
Pourquoi le prétendu décès de Fabienne Nothomb n'a-t-il jamais été publié, ni par voie de presse, ni ailleurs, pourquoi n'y eut-il aucun enterrement ? Et quand et où aurait eu lieu ce prétendu décès ?
Pourquoi est-ce que toutes les publications officielles, dont l'Etat Présent de la Noblesse Belge, n'évoquent explicitement que trois enfants, jamais quatre ?
Où se trouve le corps comme demandait Landru (à mauvais escient en ce qui le concerne), où se trouve-t-elle enterrée si elle est décédée ?
On voit bien que ces allégations adverses n'auraient pas tenu la route et se seraient fait démonter par toute enquête un peu sérieuse.
En revanche, les faits que nous présentons sont étayés par bien d'autres preuves, comme les très nombreuses anciennes éditions de bottins mondains belges (High Life et Carnet Mondain), qui indiquent que sa date de naissance est 1966, le mémoire de fin d'études de Mademoiselle Nothomb rédigé sous le prénom Fabienne, son inscription comme auteur à la Sacem sous le prénom Fabienne, et j'en passe et des meilleures.
Donc, CQFD, Amélie Nothomb, qui s'appelle en réalité Fabienne Nothomb est bel et bien née le 9 juillet 1966 en Belgique. Et les raisons de ces falsifications sont décrites dans cet article-ci et celui-là.
Les différents articles antérieurs détaillant notre analyse :
Récapitulatif des principales pièces (il en existe encore bien d'autres) :
- extrait de l'Etat Présent de la Noblesse belge publié en 1979.
- trimestriel publié en octobre 1966 par l'Association de la Noblesse du Royaume de Belgique, plus précisément, le numéro 87
- le livre de Pierre Stéphany "Portraits de grandes familles"
- un extrait de l'High Life de 2000
- la base de données de la SACEM il faut cliquer sur "Accès direct Créateurs Editeurs" : Les Oeuvres en ligne - Découvrez qui a créé quoi ?
19:23 Publié dans Droit et société | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : amélie nothomb
12:00 Publié dans Littérature | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : amélie nothomb, doris glénisson, nothomb, wikipedia, ceci, cela, citation
La première est le livre d'un journaliste d'investigation belge, Pierre Stéphany. A la page 233 de son livre "Portraits de grandes familles", publié en 2004 par les éditions Racine à Bruxelles, nous pouvons lire : "Née en 1966, cadette de trois enfants, Fabienne-Amélie n'écrivait que pour son plaisir."
Et un peu plus loin, à la page 234 : "Amélie, ses chapeaux de sorcière, ses chaussures à lacets, sa diction, son vocabulaire... L'a-t-elle fait exprès? Elle s'est fabriqué une image médiatique qui doit être pour quelque chose dans sa popularité. Elle est née à Etterbeek, pas aux antipodes. Elle n'a pas été élevée par des gouvernantes. Elle n'a pas vécu seulement au hasard des ghettos diplomatiques. Elle est allée à l'école chez les très convenables bonnes soeurs de l'Institut de Marie Immaculée à Uccle, que fréquentaient les demoiselles de la meilleure société."
Le même livre rappelle que les dires de l'écrivaine doivent être pris avec beaucoup de circonspection, à la même page 234 : "Elle affirme que depuis qu'elle a confié aux journaux qu'elle était végétarienne, ses ventes ont été multipliées par dix. Elle raconte, l'oeil pétillant et pourtant apparemment sincère, des histoires énormes. Parfois, en l'écoutant, l'intervieweur se demande si elle ne lui dit pas tout ça histoire de voir s'il est assez bête pour la croire.".
Ici, un document pdf reprenant les pages mentionnées : Pierre Stéphany.pdf
On retrouve cet extrait sur la troisième page de ce document pdf : PagesHighLife.pdf
Comme la vérité peut être déterminée de multiples façons, il existe encore de nombreux documents, tous antérieurs à sa peoplisation, démontrant sa vraie date de naissance, son vrai parcours et son vrai lieu de naissance.
Pas très importantes ces informations ? Pour certaines personnes, comme sa tante Françoise Scheyven, elles ont beaucoup d'importance, car en mentant sur sa date de naissance, son lieu de naissance et le lieu où elle a passé son enfance, Fabienne Nothomb accrédite la version mensongère de sa mère qui prétend ne pas avoir été hébergée avec ses enfants, sans contrepartie, par ses parents, à Uccle et qui refuse de rembourser cette libéralité à rapporter. Pour plus d'informations, voir cet article.
Les français me diront que pour démontrer son état-civil, il suffit de le demander à la mairie. Mais Fabienne Nothomb est belge, née et domiciliée en Belgique et l'état-civil d'une personne ne peut y être obtenu que par la personne elle-même ou sur décision de justice.
AVERTISSEMENT : Veuillez ne pas citer mon patronyme dans vos critiques
09:42 Publié dans Droit et justice | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : amélie nothomb, nothomb, doris glénisson, people, date de naissance, lieu de naissance
Lorsqu'on parcourt la Toile, on retrouve quelques sites Internet très sérieux où le nom d'Amélie Nothomb apparaît.
Par exemple, celui-ci. J'atteste de la véracité de ce qui y est indiqué (je précise que je ne connais pas l'auteur de ce site et qu'il n'a évidemment pas été réalisé par moi - il aurait d'ailleurs été beaucoup plus dur et complet s'il avait été de ma main).
L'écrivaine s'appelle en réalité Fabienne Nothomb (voir sa généalogie en cliquant sur son nom) , est née à Etterbeek, le 9 juillet 1966, est la fille de Patrick Nothomb et de Danièle Scheyven. Elle a un seul frère, André Nothomb et une seule soeur, Juliette Nothomb. La généalogie mentionne aussi le prénom de guerre de l'écrivaine d'une façon qui prête malheureusement un peu à confusion : on a l'impression qu'Amélie est la soeur de Fabienne alors qu'il s'agit de la même personne avec une seule et même date de naissance - je ne connais pas personnellement Réginald Dumont de Chassart, l'auteur de cette généalogie, mais elle est fiable.
Ou celui-là (je ne connais pas personnellement Marco Van Hees, l'auteur de cet intéressant article).
Ici une autre généalogie, réalisée par Rens Scheijven, où on peut retrouver sa parenté (malheureusement en néerlandais et pas très complète, même si j'y ai contribué).
Le titre de son mémoire de fin d'études en philologie romane à l'Université Libre de Bruxelles (ULB), "L'intransitif et l'intransitivité dans les romans de Bernanos", Bruxelles, 1988, mémoire réalisé sous la direction d'Albert Mingelgrün, ici (il faut cliquer sur "recherches" et taper "Fabienne Nothomb", car il n'y a pas de mémoire au prénom d'Amélie, uniquement ses romans et des études la concernant). Un livre "Amélie Nothomb, le symptôme graphomane", rappelle que l'écrivaine a bel et bien écrit un mémoire sur Bernanos : "Amélie Nothomb reste marquée par l'oeuvre de Bernanos (auquel elle consacra un mémoire universitaire)".
Finalement, si on tape le nom Nothomb dans le catalogue de la Sacem, elle apparaît sous le prénom Fabienne, comme auteur de chansons de la chanteuse RoBERT (il faut cliquer sur "consulter le catalogue" ou "découvrez notre répertoire", au haut de la page, et non taper son nom dans "recherche").
Autre chose que les publi-rédactions habituelles sur l'écrivaine (dont les sérieux Wikipedia et dictionnaire Robert font hélas partie jusqu'à présent).
Ah oui, il y en a qui voudraient savoir ce que signifie Amélie, ici la définition (que toutes les Amélie du monde me pardonnent !). Bon, c'est un peu bas, mais il est surprenant qu'une personne qui se prétend une linguiste cultivée et qui devrait passer sa vie à fouiner dans les dictionnaires, ait choisi son prénom sans même en avoir ouvert un de dictionnaire (car Amélie est le prénom de plume qu'elle s'est choisi, pas celui qui lui a été donné à sa naissance). Et je trouve Fabienne un fort joli prénom, sans aucune connotation ridicule.
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PS1 - Fiabilité de l'information : Je précise que si je suis si sûre de moi en ce qui concerne le sérieux des informations affichées, c'est parce que je connais Fabienne pardon Amélie et sa famille depuis ma plus tendre enfance. De plus, il s'agit de sites officiels pour la plupart et non d'interviews où généralement, le journaliste se contente de reprendre l'information que lui livre l'écrivain.
- le site anonyme : cela pourrait être n'importe quoi, mais ce site sévit depuis plusieurs années sur la Toile et n'a jamais été supprimé. Sa pérennité en dépit du fait qu'il contredise l'écrivain qui communique tant sur ces informations, est un indice de sa fiabilité.
- la généalogie de Réginald Dumont de Chassart : il s'agit d'une généalogie très complète faite par une personne qui a accès à toutes les sources les plus fiables.
- l'article de Marco Van Hees : c'est un article très bien documenté de la part d'un journaliste d'investigation belge qui connaît très bien le microcosme belge
- le catalogue de mémoires de l'ULB : son mémoire est antérieur à sa "peoplisation", donc porte son vrai prénom. Vu l'importance qu'elle prête à ce mémoire (qu'elle ne laisse pas en consultation libre, à la différence de la plupart des mémoires), elle a bien veillé à ce que ce soit son vrai prénom qui permette de l'identifier pour pouvoir en revendiquer la paternité en cas de litige.
- la base de données de la SACEM : il s'agit d'une protection officielle de ses oeuvres et donc elle a veillé à utiliser son vrai prénom pour l'éventualité d'un procès où elle n'aura droit à agir que si son vrai prénom est affiché.
Sa fiche Wikipedia est erronée, mais dans les discussions (extrêmement vives avec de nombreux intervenants différents, ce qui démontre l'importance de la controverse), il est indiqué qu'elle ne sera pas modifiée sans l'accord de l'écrivain (exemple d'une des réponses de Wikipedia : "Non, il faut une déclaration d'Amélie Nothomb disant que c'est son vrai nom"). Il est évident qu'avec une gestion de ce type, en cas de mensonge de l'écrivaine, il ne risque pas d'y avoir rectification sur Wikipedia. Il est à noter que de façon assez amusante, un intervenant qui se prétend amie de l'écrivaine, affirme que Fabienne n'est "que" le prénom qui apparaît sur sa carte d'identité - cela signifie que "Fabienne" figure bien sur sa carte. De plus, je l'ai toujours connue sous le prénom Fabienne jusqu'à la publication de son premier roman - son prénom "d'usage" était bien Fabienne.
PS2 - Intérêt de l'information : Un prénom, une date de naissance, un lieu de naissance et le lieu où elle a passé son enfance sont des informations qui peuvent passer pour secondaires. Néanmoins, à la différence de la plupart des écrivains, Madame Nothomb les martèle à peu près à chaque interview, de façon quasi-obsessionnelle, alors qu'effectivement, ces informations ne devraient pas avoir beaucoup d'impact sur l'écriture de ses romans (et en tout cas ni son prénom, ni sa date et son lieu de naissance). Ces informations ont de l'importance à mon sens, d'abord parce qu'elles rectifient des mensonges récurrents et affichés dans toutes ses biographies même les plus officielles. Ensuite ces informations ont beaucoup d'impact, car elles servent de preuve dans le cadre d'un procès où les sommes en jeu sont très importantes.
PS3 - Raisons de ces falsifications et la méthode adoptée : L'écrivaine débite ces données fausses sur son état civil et sur son enfance à peu près à chaque interview afin de parvenir à faire passer ces mensonges à la postérité. Pourquoi une telle obstination à modifier ces données, qu'elle aurait tout aussi bien pu taire et que nous aurions pu ne jamais connaître si son ambition ne l'avait pas poussée à s'intégrer dans les dictionnaires ? La prétendue enfance passée au Japon lui permet de dissimuler un important recel dans le cadre d'une succession : l'hébergement gratuit qu'elle a reçu pendant des années chez ses grands-parents à Uccle. Pour plus d'informations, veuillez lire cet article. La modification de la date de naissance lui permet de dissimuler la première année de droit qu'elle a échouée, en ne présentant pas de "trou" dans son CV. Elle a probablement modifié par la même occasion son prénom afin de davantage embrouiller et complexifier les recherches et peut-être aussi pour avoir un prénom qu'elle jugeait plus à la mode à l'époque.
AVERTISSEMENT : veuillez ne jamais citer mon patronyme dans vos critiques.
11:09 Publié dans Littérature, Livre, Société | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : amélie nothomb, doris glénisson, biographie
Il n'en est rien en réalité !
.Françoise Scheyven, enfant, a vécu le plus souvent chez ses grands-parents car ses parents l'évitaient. Elle était souvent malade parce que maltraitée.
.Si Françoise Scheyven perd son procès, cette maison assez fantastique et en parfait état, sera attribuée à sa soeur contre une somme ridicule par le truchement d'une transaction caduque car vieille de dix ans et pourtant assortie d'une clause de délai maximum de ... quatre mois (en page deux de la transaction en lien le point 3.4 prévoit un délai maximum pour l'exécution de la transaction). Cette transaction est entachée de bien d'autres irrégularités encore. Et sans vergogne, ses soeurs réclament des dommages-intérêts démesurés à Françoise Scheyven en dépit de sa situation, histoire de réduire encore davantage sa part.
Cette situation est d'autant plus écoeurante que Françoise Scheyven vit actuellement en quart-mondiste, dans un petit chalet en ruine, sans chauffage, ni eau courante, ni la place suffisante pour y vivre.
Je n'ai pas osé montrer une photo du chalet entier, ni de son intérieur, par honte et pudeur pour Françoise Scheyven.
Par Doris Glénisson, DESS de Droit, MBA (major de la promo), Lic Sc Eco, Cand Ing civil
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Est-ce que le présent article pourrait être un "fake" ? .
Si c'était un fake, je ne m'engagerais pas à en attester le contenu. Ce n'est pas une preuve définitive, mais en raisonnant, nous pouvons déduire que c'est dans la présente thèse que se situe la vérité.
1 - A supposer que cette thèse soit fausse, une chose demeure certaine : la tante directe d'Amélie Nothomb vit dans la misère la plus noire et l'écrivain, milliardaire semble s'en soucier comme d'une guigne, la mère de l'écrivain milliardaire aussi, ainsi que l'autre tante, également très riche. Ceci démontre un manque de coeur, d'esprit de famille et de sens commun assez effarant. .
2 - Toujours dans la même hypothèse qu'il s'agirait d'une thèse mensongère, de toute façon, la mère et l'autre tante d'Amélie Nothomb n'hésitent pas à demander des dommages-intérêt exorbitants qui grèvent lourdement la petite part que la transaction alloue à Françoise Scheyven, en dépit de son état de misère. Ceci démontre à nouveau manque de coeur, d'esprit de famille et de sens commun.
3 - Vu les mauvaises dispositions et l'égoïsme évident de ces personnes, cette histoire est finalement assez crédible. .
4 - Elle est même totalement démontrée par la transaction-partage (mise en lien), la valeur de la maison attestée par plusieurs expertises (dont une en lien) et confirmée par des articles de presse (dont un en lien), et divers points de comparaison (ventes de gré à gré, ventes publiques, annonces de presse), les expertises sous serment des comptes bancaires (une expertise en lien), les courriers de feu le grand-père d'Amélie Nothomb (dont un exemplaire en lien) et des témoignages divers. .
Est-ce que le présent article intéresse le grand public ?
Oui, car il fait intervenir une personnalité qui tire ses revenus de sa notoriété, et qui ment publiquement dans sa biographie pour faire accréditer cette version mensongère. Elle fait aussi intervenir divers notables et dépeint une situation extrême. Il ne s'agit donc pas d'une affaire purement privée a fortiori que tous les éléments ici mentionnés sont repris dans un procès public pour lequel le huis clos n'a même pas été demandé.
Est-ce que le présent article pourrait contrevenir à la loi ? .
Non, car toutes les informations sont publiques (étant livrées dans le cadre d'un procès public) vraies, attestées, démontrées preuves à l'appui.
13:37 Publié dans Droit et justice, Littérature, Société | Lien permanent | Commentaires (1) | Tags : justice, droit, amélie nothomb, censure, héritage, fortune